Pour bien commencer l'année, rien de tel qu'une belle sélection de temps forts culturels aux musées !
► Nocturnes
Haïkus
Après les 2 albums Birds of Paradise (Choc Jazzmagazine, Elu Citizenjazz, Selection Jazznews), le trio que forme Olivier Py avec Jean-Philippe Morel et Franck Vaillant revient pour un répertoire autour de courts poèmes : des « Haïkus ». La musique est ici issue des textes eux-mêmes, autant de leurs évocations subjectives que de leurs codes internes. Car un texte est un faisceau de sens, mais aussi une matière faite de nombres et de rapports de proportions numériques. Cet artisanat des mots est ici au cœur de la composition, comme une possible alchimie de la musique. Un fil vivant entre la matière et son essence. Et, comme le haïku qui est une attention au sentiment intime des choses, ce répertoire naît aussi d'une envie – d'un besoin – d'essentiel, auquel la musique elle-même ne semble pas échapper.
Avec Olivier Py : saxophones, composition - Jean-Philippe Morel : contrebasse et Franck Vaillant : batterie
Dans le cadre de l’exposition À portée d’Asie. Collectionneurs, collecteurs et marchands d'art asiatique en France (1750-1930).
Le 13/01 à 19h au musée des Beaux-Arts
Parcours dansé
Dans le cadre de l'exposition À portée d’Asie. Collectionneurs, collecteurs et marchands d'art asiatique en France (1750-1930)
Pour une découverte atypique du parcours de l’exposition, suivez les pas des élèves des classes de danse du Conservatoire.
Avec les classes de danse du Conservatoire à Rayonnement Régional de Dijon
Les 17 et 18/01 au musée des Beaux-Arts
► Cinéma au musée
Une visite / un film
L’âme du vin
La saint Vincent est l’occasion pour le musée de la Vie bourguignonne de mettre en lumière ses collections liée à l’art du vin. Redécouvrons une partie de l’œuvre d’Henri Vincenot, la toile de Claude-Bonaventure Carteron ou encore des tastevins et les jaquots.
Visite suivie du film L'âme du vin de M.-A. Gorbanevsky, Ed.Schuch productions ; Joparige Films ; 127 Wall productions [prod.], 2019, 60 minutes
Le 28/01 à 15h au musée de la Vie bourguignonne
► Conférence
Ouverte plus tardivement et brièvement au commerce avec l’Occident, la Corée est moins représentée que la Chine ou le Japon dans les collections françaises. Raison de plus pour découvrir dans l'exposition À portée d’Asie la mission de Charles Varat (1842-1893) et, à sa suite, s'intéresser à de nombreux aspects de la culture coréenne...
Par Stéphanie BROUILLET, conservatrice du patrimoine, conseillère pour les musées à la Direction régionale des affaires culturelles des Pays de la Loire
Proposées par la SAMD de Dijon et animées par les commissaires et les contributeurs scientifiques du projet À portée d'Asie, ces conférences sont l'occasion de découvrir et d'approfondir les thématiques abordées dans l'exposition.
Le 18/01 dans la salle de conférécences de la bibliothèque Colette
► Les visites thématiques
Exposition À portée d'Asie
Profitez des dernières dates de visites pour découvrir l’exposition À portée d’Asie. Collectionneurs, collecteurs et marchands d'art asiatique en France (1750-1930) !
De la seconde moitié du XVIIIe siècle aux premières décennies du XXe siècle, la France connaît un afflux d’objets asiatiques sans précédent importés par des amateurs d’art asiatique. Selon les périodes, différents acteurs se font les promoteurs de ce goût nouveau dont témoigne la grande variété des pièces exposées.
Les 6/01, 13/01, 14/01, 20/01 et 21/01 à 14h30 au musée des Beaux-Arts
Les yeux fermés, une séance audiodescriptive
Sans les yeux, on écoute, on imagine... Non-voyants et personnes voyantes tentées par une sensibilisation au handicap découvrent ensemble des œuvres du musée. Une expérience inattendue à partager. Une expérience inattendue à partager.
Le 20/01 à 14h30 au musée archéologique
► Midi au musée
Des barbares en Bourgogne ? Évolution des populations sur le territoire bourguignon à l’époque mérovingienne
La chute de l’Empire romain a provoqué des temps troubles en Bourgogne, où différentes peuplades venues de l’Est du Rhin se sont disputées le territoire. La Bourgogne tire justement son nom des Burgondes, premier peuple barbare à y avoir établi un royaume éphémère, rapidement renversé par les Francs. Quelles traces nous ont laissé les populations qui ont vécu sur ce territoire ? L’analyse des vestiges archéologiques et des textes de la période mérovingienne permet de découvrir les différentes populations vivant en Bourgogne à l’époque mérovingienne, qu’elles soient de tradition gallo-romaine ou au contraire « barbares ».
Avec Franck Abert, chargé des collections archéologiques et d’art antique.
Le 25/01 à 12h30 au musée archéologique