Yuko Oshima a un pied du côté de Strasbourg, où elle vit, et l’autre posé dans sa culture natale. Au sein de ses projets, la batteuse combine ses influences et ses expériences pour jouer une musique qu’elle qualifie d’inqualifiable. Que dire alors ? Que ses solos, par exemple, se nourrissent de jazz, de musique traditionnelle, de batterie turbulente, de percussions délicates et de japonais scandé, chanté ou chuchoté. Le rythme est une chose complexe. Magnifique, sensible et profonde quand elle survole les étiquettes. Parfait pour cette nouvelle journée du Matrimoine dans un musée dijonnais.
Avec LeBloc
© Stefanie Marcus